Classique des Fêtes 2025 : un week-end de tradition, de talent et de fierté alumni
La 44e édition de la Classique des Fêtes a une fois de plus offert un week-end mémorable de basketball de haut niveau, réunissant des équipes du Québec, du Canada et des États-Unis. Fidèle à sa mission, le tournoi a servi à la fois de vitrine compétitive et de célébration du rôle du sport dans le développement des jeunes — comme outil d’épanouissement, de persévérance et d’ouverture sur le monde.
Un tournoi ancré dans la tradition
Cette édition s’est distinguée par la forte présence de programmes fidèles et d’anciens de Jeunesse au Soleil (Hornets). St. Thomas More, dirigée par l’entraîneur Jere Quinn, participe au tournoi depuis plus de 20 ans. Winchendon faisait quant à elle ses débuts à la Classique comme programme, tandis que son entraîneur-chef Alex Popp retrouvait un environnement bien connu, lui qui a déjà amené plusieurs équipes au tournoi par le passé.
Une forte présence locale et régionale
Les programmes d’ici ont occupé une place centrale. Le Cégep Brébeuf, participant depuis 2007 et hôte du tournoi depuis 2021, a mis en valeur de solides liens alumni, notamment avec Jessie Ritchie-McLean, ancien Hornet, ainsi que Michael Chmielewski, ancien entraîneur.
Le Cégep de Sherbrooke, présent depuis 2022, poursuit sa progression, tandis que Lennoxville Prep, participant depuis 2021, est dirigé par Ibrahim et Djibril Ngom, deux anciens Hornets.
L’héritage du programme de basketball de Jeunesse au Soleil
Plusieurs équipes ont illustré l’impact durable du programme de Jeunesse au Soleil. Helisis Prep, pour une deuxième année consécutive, comptait sur l’entraîneur-chef John Dangelas et les joueurs Andrew Dangelas, Don Mensah, Timothy Jeremiah et Yakin Success, tous anciens Hornets.
Dawson D2 était mené par Rodney Skerritt, ancien Hornet et ex-coordonnateur du programme de basketball, accompagné de Graig Bryan Wafo Kouam, lui aussi ancien de Jeunesse au Soleil.
Vanier D2 poursuivait cette tradition avec des entraîneurs — Scott Mawhinney, Craig O’Brien et Ernie Rosa — tous anciens entraîneurs ou Hornets, ainsi que les joueurs Lucas Ryan et Dzidula Marylight Sowadan, également anciens du programme.
Nouveaux visages et programmes bien établis
Le tournoi a aussi accueilli Limoilou, participant pour la première fois. Ottawa Elite représentait l’évolution des Ottawa Guardsmen, programme ayant déjà pris part à plusieurs éditions antérieures. Ottawa Prospects, dirigé par Steve Huibers, était de retour, poursuivant une présence soutenue ces dernières années.
Enfin, John Abbott College, un habitué de la Classique, rappelait de grands souvenirs, notamment une participation en finale contre Vermont Academy il y a près de dix ans, à l’époque où Bruce Brown évoluait avec cette formation. St-Laurent Express complétait le tableau, avec Fabiano Isidore maintenant au sein de l’équipe.
Merci à notre communauté
Le succès de la Classique des Fêtes n’aurait pas été possible sans le dévouement et la générosité de nombreuses personnes œuvrant dans l’ombre. Des partenaires tels que l’association des arbitres MMBRA, l’hôtel Ruby Foo’s, Marathon Souvlaki sur le boulevard Décarie, Cantine Dukana et Intermarché Lagoria, aux nombreux photographes et vidéastes bénévoles, en passant par un nombre record de bénévoles issus de nos programmes sportifs — athlètes, entraîneurs et parents —, sans oublier toutes les autres personnes venues prêter main-forte et offrir leur soutien : Jeunesse au Soleil tient à exprimer sa plus sincère reconnaissance à toutes celles et ceux dont le temps, l’énergie et l’engagement ont permis d’offrir un tournoi accueillant et parfaitement orchestré pour l’ensemble des participants.
Nous souhaitons également remercier chaleureusement le Collège Jean-de-Brébeuf et l’École secondaire Saint-Laurent pour avoir généreusement accueilli les matchs et pour leur soutien constant au sport jeunesse et aux initiatives communautaires.
Bien plus qu’un tournoi
Plus qu’une compétition, la Classique des Fêtes demeure un point de rencontre entre générations, où tradition, opportunités et communauté se croisent. Cette 44e édition a une fois de plus confirmé pourquoi le tournoi reste un événement phare pour Jeunesse au Soleil et la communauté du basketball.
